Ce samedi soir, le Paris Saint-Germain s'est très largement imposé sur la pelouse de Clermont 5-0 lors de la 1ère journée de Ligue 1. Sérieux et dangereux, le PSG a maîtrisé son sujet de bout en bout en Auvergne où Neymar a réussi une grande performance, buteur et triple passeur à Clermont. Passeur pour le Brésilien, Lionel Messi s'est aussi offert un doublé dans ce match dont un superbe retrourné acrobatique qui a fait sensation sur les réseaux sociaux mais aussi dans le stade de Clermont puisque tous les spectateurs du Stade Gabriel-Montpied ont scandé des ''Messi, Messi'' après son second but du supporters de Clermont adoubent MessiLionel Messi a inscrit deux buts ce samedi soir contre Clermont. C'est un tiers de ce qu'il a fait la saison passée. Le premier a été assez facile sur une belle passe de Neymar, l'Argentin a juste eu à pousser le ballon au fond des filets. Le second, par contre, sur une magnifique passe de son compatriote Leandro Paredes, le septuple Ballon d'Or, a controloe le ballon de la poitrine avant d'effectuer ce qu'on appelle aussi une bicyclette qui a trompé le gardien adverse. Suite au geste superbe deu milieu de terrain, les supporters de Clermont ont applaudi et scandé le nom de Messi. Ce qui rappelle forcément le retourné de Cristiano Ronaldo un soir de Ligue des champions contre la Juventus quand il portait encore les couleurs du Real Madrid. Les fans nerazzuri avaient aussi crié son nom...Les internautes réagissentSur les réseaux sociaux, les internautes ont commenté en masse cette séquence. On a ainsi pu lire sur Twitter ''Quand le meilleur joueur du monde fait sortir sa carte magique le monde entiers es dans la joie félicitations mon LEO suis fière de toi cette saison il faut fermer la bouche des français là qui te critique souvent là il faut tout arracher sur ton chemin oui tout...''''Magnifique, plus le controle que le but finalement car il n'est pas haut mais l'enchainement wooooow''''Messi va tout cartonne rcette saison, quel plaisir de voir ces sourires, magnifique, cela va faire le tour du monde...''''La passe de Paredes mamma miaaaaa, bim bam boum, poitrine retourne lob golazooooo''''Messi is back, on aura besoin de ce Messi en fevrier, clermont pas clermon on s'en fout il faut le mettre ce but...''Le Paris Saint-Germain prend déjà la tête du classement devant l'Olympique Lyonnais et l'AS Monaco. A l'inverse, le club auvergnat prend la place de lanterne rouge. Avec ce goal average, le PSG pourrait bien rester longtemps au sommet de la Ligue 1, peut-être jusqu'au bout de la saison. Pour Christophe Galtier, son premier match en Ligue 1 promet de belles choses aux supporters parisiens. © TOUS DROITS RÉSERVÉSAboutPress Copyright Contact us Creators Advertise Developers Terms Privacy Press Copyright Contact us Creators Advertise Developers Terms Privacy
Le Vieux-Port de Marseille, rénové et désormais semi-piéton, va accueillir les soirs des 3 et 4 mai, un spectacle pyrotechnique qui marquera le deuxième grand événement public de l'année européenne de la culture Marseille-Provence 2013. Pour l'occasion, l'éclairage public sera éteint, et les quais et pontons du port seront illuminés par plus de "pots de feu" pots de fleurs emplis de cire avec une mèche enflammée, ndlr, "boules de braises", "abat-jours" "forges" et "torchères". Une passerelle, également éclairée, sera installée, permettant de faire le tour complet du Vieux-Port et rappellera pendant deux soirs le vieux pont transbordeur inscrit dans la mémoire marseillaise. L'événement, baptisé "Le Vieux-Port entre flammes et flots" a été conçu par la compagnie Carabosse, qui a déjà mis le feu à Moscou, Adelaïde Australie, ou Anvers Belgique. Les organisateurs attendent au moins personnes au même instant sur les m2 scénographiés chacun des deux soirs, pour une déambulation "urbaine et onirique", selon les mots d'Anne Guiot, la directrice de Karwan, l'association à l'initiative du spectacle. "C'est un spectacle très doux, très poétique, très scénarisé", a commenté mercredi lors d'une conférence de presse le président de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole Eugène Caselli. Ce sera "un moment emblématique de cette année 2013", a renchéri le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin.
1355 - Mathis Lachuer (Amiens SC) : « On ne veut pas s’arrêter là » - Le11HDF.fr. Pleinement lancé dans sa saison 2022-2023, l’Amiens SC pointe maintenant à la deuxième place du classement grâce à un troisième succès de rang acquis à La Licorne contre Bastia (3-1). Si c’est une belle réussite jusqu’à présent, Mathi.
Publié par Thierry Dilasser le 13 août 2022 à 07h12 À Lens, on n’a pas été assez disciplinés. Il est pourtant indispensable que toute l’équipe soit concernée par l’aspect défensif, sans cela on n’y arrivera pas », estime le capitaine Brendan Chardonnet. Photo Nicolas Créach En concédant trois buts d’entrée à Lens, les Brestois ont affiché des carences défensives qu’ils vont vite devoir gommer. Et ce, dès dimanche face à Marseille. Tandis qu’un attaquant supplémentaire est toujours espéré à la pointe finistérienne, c’est peut-être derrière que la tâche qui attend Der Zakarian et ses hommes en ce début de saison est la plus grande?. Solide durant les vingt premières minutes du match à Lens, en ouverture de championnat, le bloc formé par les Brestois s’est ensuite délité 16 tirs dont 7 cadrés concédés, trois buts encaissés, plus un penalty arrêté. Il est indispensable que toute l’équipe soit concernée par l’aspect défensif, sans cela on n’y arrivera pas »Avec le recul, le capitaine Chardonnet constatait en milieu de semaine que l’équipe n’a pas été assez compacte pour stopper les passes et les joueurs lensois entre les lignes. On n’a pas été assez disciplinés. Il est pourtant indispensable que toute l’équipe soit concernée par l’aspect défensif, sans cela on n’y arrivera pas ». Proposer un bloc solide »Interrogé vendredi sur le sujet, l’entraîneur Der Zakarian en a remis une couche. Une bonne solidité défensive, c’est la base de toute équipe. Mais peut-être encore plus pour nous, qui n’avons pas la capacité d’avoir beaucoup la possession du ballon ». Outre des erreurs individuelles qui ont coûté cher, c’est collectivement que les Brestois ont failli dans le Nord. Une bonne solidité défensive, c’est la base de toute équipe. Mais peut-être encore plus pour nous, qui n’avons pas la capacité d’avoir beaucoup la possession du ballon » Pourtant, les gros matchs qu’on a pu produire l’an dernier, c’est quand on a su proposer un bloc solide. C’est la force de ce groupe. On aimerait parfois avoir plus la possession mais on joue avec nos forces et notre qualité première est celle-là », abonde ?Hugo Magnetti, auteur d’une entrée en jeu convaincante à Bollaert 3 ballons récupérés et 5 duels gagnés en 17 minutes. Illustration des propos du milieu de terrain la saison dernière, le Stade Brestois a certes encaissé trop de buts 57 * mais a remporté sept de ses treize victoires en terminant la rencontre sans en prendre un. CQFD. Dès qu’il manque un joueur ou deux… »Si au moins deux joueurs sont encore ciblés d’ici la fin du mercato un attaquant, donc, mais aussi un milieu de terrain, le Stade Brestois ne devrait pas recruter de défenseur supplémentaire, même si tout reste possible » selon Der Zakarian. Dans l’immédiat, ce dernier devra donc faire avec les joueurs arrière dont il dispose Chardonnet, Hérelle, Brassier, Duverne, Dari, Uronen, Fadiga et composer avec les forces en il ne devrait pas pouvoir compter sur Noah Fadiga, l’une de ses deux seules recrues de l’été dans le secteur défensif avec Achraf Dari, touché à la cheville en cours de match à Lens et qui n’a pas pu s’entraîner cette semaine. Sachant qu’Uronen, lui, vient d’être papa pour la 2e fois et est à court de forme. Il a une autonomie de 20 minutes », dit Der Zakarian à son sujet, avant de constater qu’ il manque du monde, oui. On n’a pas doublé tous les postes. Et dès qu’il manque un joueur ou deux… ».Le chantier s’annonce vaste pour les Brestois. Ces derniers devront rapidement se montrer capables de colmater les brèches s’ils ne veulent pas s’exposer au pire, à commencer face à Marseille, une équipe qui va jouer la Ligue des Champions, qui va vite, qui est athlétique et bonne tactiquement », n’a pas manqué de souligner MDZ ». Un adversaire qui, accessoirement, devrait pouvoir compter sur sa dernière recrue, le Chilien Alexis Sanchez, dès dimanche.* Dont 20 en cinq matchs seulement, Paris, Montpellier, Marseille, Monaco et Bordeaux leur en ayant chacun passé l’actu du Stade Brestois Amateur de sports, tendance balle jaune et eau salée. Tout commence en Finistère nord
Legroupe de Nicola Sirkis a vu les choses en grand pour célébrer ses quarante ans de carrière. Indochine a désormais 40 ans de carrière, 41 ans même. À cette occasion, le groupe a organisé une tournée d'anniversaire exceptionnelle et un concert tout aussi fou samedi dernier au Stade de France.. Pendant 2h50, la formation de Nicola Sirkis a enflammé une foule Comment se sont déroulés vos premiers pas au Stade français ? J’ai été très bien accueilli. Pourtant, tout n’a pas été simple. Mon transfert s’est fait tardivement, il a fallu prendre une décision assez vite. J’étais en manque de temps de jeu au Racing, j’espère donc avoir plus d’opportunités à Paris. Nous en sommes à la quatrième semaine de travail et je suis plutôt content de ce qu’on a fait. Il me tarde même de débuter la saison. Pouvez-vous nous raconter comment s’est déroulé votre transfert ? Tout s’est fait au dernier moment, mais pour moi l’opportunité était belle de venir chercher plus de temps de jeu dans une équipe qui se reconstruit. Votre arrivée au Stade français suscite beaucoup d’attentes. Le ressentez-vous ? Très franchement, non. Contrairement à mon arrivée au Racing la saison dernière, où j’étais quasiment la seule recrue, où on avait beaucoup parlé de mon transfert dans les médias, je débarque au Stade français au milieu d’une dizaine de nouveaux joueurs ndrl 12. Et ça me va bien. Je trouve que c’est plus simple pour s’intégrer. Surtout, je n’aime pas trop qu’on parle de moi. Je n’ai pas eu le sentiment d’être mis plus en avant qu’un autre à Paris. Tant mieux. Surtout que je suis plutôt discret. Le Stade français a réalisé l’an dernier une saison décevante, mais son paquet d’avants s’est révélé être un des meilleurs du Top 14. Est-ce que ce constat a été un élément dans votre choix pour rejoindre le club de la capitale ? Ah oui, tout à fait. J’avais bien remarqué la saison dernière la qualité du pack. Cette équipe a souvent dominé les phases de conquête. Et ça, ça m’a plu. Certes, les résultats n’ont pas vraiment reflété cette image. Mais je suis sûr que cette saison, nous allons être une équipe casse-couilles pour nos adversaires. Le club a recruté pas mal de joueurs revanchards, des joueurs pas trop connus médiatiquement. Et j’espère qu’on va montrer notre état d’esprit. Justement, êtes-vous revanchard par rapport à votre passage au Racing 92 qui ne s’est pas passé comme vous l’espériez ? Le Racing est venu me chercher à Pau où j’étais bien, où je me sentais à ma place. Les résultats n’étaient pas encore ceux espérés, mais l’arrivée de Sébastien Piqueronies laissait percevoir un joli projet. A l’époque, je me suis posé beaucoup de questions. Je me suis tout de même laissé séduire par les arguments avancés par les dirigeants du Racing. Aujourd’hui, je n’ai pas de regrets, mais je n’ai pas réussi à montrer ma valeur avec cette équipe. J’espère pouvoir le faire avec le Stade français. Mes ambitions sont toujours les mêmes. J’ai vraiment à cœur de montrer mon vrai visage parce que je n’ai pas envie de rester sur une année quasiment blanche. J’ai tout de même passé quatre mois à l’infirmerie et pas mal de temps dans les tribunes. Considérez-vous cette expérience comme un échec ? C’est peut-être un peu bateau ce que je vais dire, mais je n’ai pas le sentiment d’avoir perdu mon temps. Cette expérience m’a beaucoup appris. Je regrette simplement de ne pas avoir pu m’exprimer pleinement. J’ai surtout le sentiment d’être parti un peu vite, mais voilà … Il faut saisir les opportunités quand elles se présentent. Le Stade français m’offre un beau challenge. J’ai vraiment envie de faire partie de cette aventure. Était-ce vraiment votre choix de quitter le Racing alors qu’il vous restait trois ans de contrat ou était-ce le choix des dirigeants ? C’est un accord commun ! J’avais tout de même mon mot à dire. Mais mon intérêt n’était pas de rester au Racing, tout le monde l’aura compris. Avez-vous déjà noté des différences entre les deux clubs ? Il y a une mentalité différente… C’est à dire ? Il y a beaucoup de stars au Racing, bien moins au Stade français. Ça me convient mieux. Je préfère travailler dans l’ombre. Vous savez, je me suis construit à Pau dans une équipe qui jouait peut-être le maintien, mais avec un esprit de convivialité très fort. Je retrouve un peu ça au Stade français, avec un groupe très jeune. C’est dans ce contexte que je me sens le mieux. Pour moi, c’était compliqué au Racing. En étant longtemps blessé, je me suis retrouvé un peu à l’écart du groupe. C’est peut-être aussi ce qui fausse ma vision des choses. Je n’ai joué qu’une quinzaine de matchs, ce n’est pas suffisant pour créer des liens. J’espère que ça se passera mieux au Stade français. C’est aussi pour cette raison que j’ai signé quatre ans, pour avoir le temps de m’inscrire dans la durée. J’ai vraiment envie de me régaler et j’ai le sentiment que les ingrédients sont réunis. Votre profil de joueur ne correspond-t-il pas davantage au projet de jeu du Stade français qu’à celui du Racing ? C’est exactement ce que je me suis dit ! Et le début de notre préparation me conforte dans mon choix. Le Racing veut du beau jeu avec des stars, ce qui n’est pas désagréable, mais ce ne sont pas les mêmes qualités au Stade français. Et ces qualités me conviennent bien mieux. Il y a vraiment moyen de faire quelque chose de sympa. Lorsque vous êtes arrivé au Racing l’an passé, vous étiez aux portes de l’équipe de France. L’objectif est-il toujours de pouvoir prétendre au maillot bleu ? En signant au Racing, c’était mon objectif. Je savais que si je m’imposais dans un club aussi huppé que celui-là , j’aurais plus de chances qu’en restant à Pau. Aujourd’hui, mon ambition reste la même. Le Stade français est un très beau club, malgré quelques années récentes difficiles. Mais je crois beaucoup au projet que nous sommes en train de construire. OM- Bordeaux : ce soir, c'est toute une ville qui va s'enflammer Pour la réception de Bordeaux, les supporters retrouvent leur stade un an et demi après le dernier match . ParDès que le nouveau logo du CF Montréal a été dévoilé vendredi matin, mon fil twitter s’est enflammé. J’avais hâte de voir les réactions. Et contrairement à ce que j’ai vécu lorsque le premier logo du CFM a été dévoilé, les réactions étaient généralement assez bonnes. C’est un énorme soupir de soulagement que l’on pousse, car il n’aurait pas fallu que l’équipe se trompe à nouveau. Même si je dois avouer que le logo en forme de bouclier de 2012 demeure encore mon préféré, le nouveau logo s’avère une énorme amélioration sur le flocon, tant détesté. On retrouve les couleurs associées pendant longtemps au club, on ramène un plus petit bouclier au centre, et aussi la fleur de lys. Quand je le regarde, je pense à l’Impact de Montréal. Même si on nous a répété aujourd’hui que l’Impact ne demeurait que comme surnom du le hic que plusieurs auront. Le logo, les gens le trouvaient laid, mais ce qui a le plus blessé les partisans dans leur cœur, c’est le changement de nom. De nombreux partisans réclamaient au moins de voir le mot Impact dans le nouveau logo, mais ce n’est pas le cas. L’équipe a tenu à expliquer qu’il était faux de dire que c’était la MLS qui empêchait le club de revenir en arrière sur cette décision de changer le nom. La raison donnée, c’est qu’on voulait que Montréal soit au centre du nom. Ne me demandez pas comment CF Montréal met plus en évidence la ville que l'Impact de Montréal? Je ne le sais pas. Mais au moins, on a maintenant un logo qui a de l’allure et qui représente beaucoup mieux ce qu’est l’Impact. Et l’avenir du club? Est-ce que ce sera suffisant pour ramener les gens au Stade? Probablement pas dans l’immédiat. Malgré une saison des plus performantes, il y a encore du travail à faire puisque le club continue d’afficher parmi les pires assistances du circuit, semaine après semaine. Lorsque questionné à savoir si le club risquait un jour de déménager, comme l’avaient fait les Nordiques et les Expos, Joey Saputo n’a pu fermer la porte aux spéculations. Plutôt que de renvoyer l’idée du revers de la main, il a expliqué que le club faisait tout en ses moyens pour rapatrier les partisans pour ne pas que ça arrive. » C’est tout de même un message clair aux amateurs qui boudent toujours le club. Le conflit avec les Ultras n’est toujours pas réglé et on ne sait pas s’il le sera un jour. En espérant que ce nouveau logo aura comme effet de relancer la discussion sur une base beaucoup plus positive.
Description: voici un blog anti-stephanois ,mais également un blog pro-lyonnais , vous y verrez de très belles tofs contre les lapins verts,le PDSG,L'OM(olympique de